La Pointe : les projets pour 2025/2026
Une visite culturelle par mois, tel est l’objectif que s’est fixé Catherine Stolarski, présidente de La Pointe, pour l’année scolaire qui commence. Des projets, elle en déborde : la Maison Victor Hugo, le musée du chocolat, la BNF, la cathédrale Notre -Dame. Et pourquoi pas la basilique du Sacré-Coeur, pour rendre visite à notre ancien curé ?
Ces visites culturelles ne sont qu’une partie des offres faites aux bénéficiaires de La Pointe : des gens de la rue, des personnes seules ou en difficultés de toutes sortes. Le samedi après-midi, ils sont accueillis par un café. Un nouveau bénévole a intrigué certains invités de La Pointe : Mathieu Petitjean. « C’est quoi, un séminariste ? » a demandé avec ingénuité un des invités à Catherine, en aparté. Mathieu s’est vite intégré à l’équipe des bénévoles, servant les boissons la première semaine, jouant aux dames avec des bénéficiaires la fois suivante. Dès la 3e semaine, sa présence était réclamée !
Le mardi, des ateliers créatifs sont proposés : dessins, peintures, coloriages, modelage, et peut-être bientôt un atelier mime.
D’autre part, Catherine est fière d’avoir pu entrer en contact avec un lunetier qui, un lundi matin par mois, ouvre sa boutique boulevard Sébastopol aux personnes dans la précarité. Après un examen de la vue, ce monsieur pourra proposer aux intéressés des montures et des verres neufs pour les pathologies classiques (myopie, presbytie). Quatre bénéficiaires de La Pointe sont déjà inscrits pour la prochaine permanence.
Pour mener à bien ces projets, Catherine est entourée de 25 bénévoles de tout âge : d’un jeune bachelier (18 ans) à un retraité confirmé très vif (91 ans). La bonne entente est de mise (pots ou sorties ensemble le montrent). Catherine aimerait renforcer l’équipe, qui n’est pas assez étoffée pour assurer un encadrement convenable, surtout le samedi. Catherine aimerait aussi renforcer les liens avec les paroissiens. N’hésitez pas à passer à La Pointe voir ce qui s’y fait.
Et si vous êtes prêts à offrir quelques heures, vous pouvez nous contacter ; nous transmettrons à Catherine.
Odile Guégano, d’après une interview de Catherine Stolarski